>> Diane Lhéritier – Promo 2007
En quoi la formation de l’ISCPA vous a-elle permis d’intégrer la vie active ?
En apportant un enseignement professionalisant, par les spécialisations et les intensives notamment, l’école permet d’être totalement opérationnel au cours des stages. Plusieurs rédactions dans lesquelles j’ai pu travailler m’ont ainsi proposer de poursuivre ma collaboration en piges (faute de postes à pourvoir). Elles s’étaient montrées pleinement satisfaites de mon travail, et de ma formation.
Pour vous, quels sont les points forts de cette formation ?
Justement cette professionalisation. On rentre rapidement dans le vif du sujet : comment écrire, parler au micro, tenir une caméra, mener une interview. Même si les stages permettent de se faire de l’expérience, les connaissances de base en technique aident beaucoup à gagner en autonomie, ce qui est toujours apprécié par les rédactions.
Au cours de votre formation, vous avez certainement vécu un événement marquant. Lequel ?
J’ai énormément apprécié de travailler sur le colloque de l’agriculture il y a deux ans, ou de tourner un clip pour le cours d’anglais en deuxième année. Le plaisir de se croire réalisateur pour quelques jours, et d’apprendre qu’il serait même diffusable. J’en garde une bonne expérience pour d’éventuels futurs projets au cinéma !
>> Leslie Pourtier – Promo 2004
En quoi la formation de l’ISCPA vous a-elle permis d’intégrer la vie active ?
C’est grâce à un stage réalisé lors de ma dernière année à l’ISCPA que j’ai pu intégrer une radio pour deux ans. Fortes de mes expériences précédentes et de tous les contacts pris pendant les 3 années d’études, j’ai pu être assurée d’avoir un emploi à l’issue de la formation.
Pour vous, quels sont les points forts de cette formation ?
La pratique. Les stages obligatoires sont un excellent moyen de mettre un pied dans le monde du travail, de se faire des contacts facilement, en étant appuyé par l’école. Les stages ne doivent donc pas être négligés, une petite expérience peut souvent s’avérer être une source d’emploi une fois le cursus terminé.
Au cours de votre formation, vous avez certainement vécu un événement marquant. Lequel ?
Ma première expérience dans une radio locale. J’étais en première année, nous n’avions pas encore fait de radio et j’ai dû au bout de quelques jours de stage présenter les flash infos. Une entrée en matière très rapide qui a confirmé ma passion pour la radio. On m’a fait confiance rapidement et c’est certainement ce qui m’a permis de garder intacte ma motivation pour le journalisme depuis toutes ces années.
>> Anne Gondard – Promo 2003
En quoi la formation de l’ISCPA vous a-elle permis d’intégrer la vie active ?
L’ISCPA a été un tremplin pour l’entrée dans la vie active car au cours de la formation, nous pratiquons des stages qui nous mettent dans des situations concrètes. Il est plus intéressant pour postuler à un job de montrer que, outre l’école, nous avons des expériences sur le terrain. L’école
nous suit après la scolarité et propose des offres d’emploi. C’est comme ça que j’ai pu avoir mon premier poste, dans le Berry !!!!
Pour vous, quels sont les points forts de cette formation ?
La durée des stages est importante car plus on reste longtemps au sein d’une entreprise, mieux on s’intègre et l’on fait partie prenante de la boîte. L’analyse de l’actualité et les techniques d’écriture, ainsi que le français sont des matières importantes quel que soit le support choisi car avant
toute chose, il est nécessaire d’avoir un minimum de culture générale et surtout de s’avoir s’exprimer (à l’oral ou à l’écrit) dans un français correct, voire irréprochable, mais ce n’est pas toujours évident. Les classes ne sont pas trop nombreuses et le travail de groupe est ainsi facilité. La mise en situation, le travail, pendant le temps scolaire, de cas concret est aussi très formateur (réalisation de reportages radio et télé, d’un magazine…). Il n’y a rien à négliger car il n’y a pas deux entreprises qui
se ressemblent et l’on peut être amené, au fil de notre vie professionnelle, à confronter des univers très variés et parfois «inattendus» (faire de la mise en page, faire quelques piges à droite à gauche en radio par exemple…).
Au cours de votre formation, vous avez certainement vécu un événement marquant. Lequel ?
Alors, j’ai eu plusieurs petits événements marquants, des positifs et des moins bons, mais qui permettent toujours d’avancer, comme le jour où l’on m’a dit que j’avais un style «pauvre et plat»… Sinon, mon A en PAO m’a marquée et je pense que là, j’ai eu le déclic de ma passion pour la mise en page et le secrétariat de rédaction. L’envie d’être en recherche pour trouver des maquettes intéressantes… L’utilisation de cet outil a été super et heureusement que cela a été dispensé car je me sers quotidiennement de ce petit logiciel formidable qu’est Quark XPress !
La préparation du mémoire est aussi très riche. C’est un vrai travail d’enquête, fait de rencontres, de temps passé à lire, à téléphoner, à se déplacer pour rencontrer des tas de personnes qui ont envie de parler de leur métier, de leur passion.